{"id":244,"date":"2020-09-12T16:13:33","date_gmt":"2020-09-12T14:13:33","guid":{"rendered":"https:\/\/www.plubeau-chiropracteur.fr\/?p=244"},"modified":"2021-01-02T15:24:38","modified_gmt":"2021-01-02T14:24:38","slug":"chiropraxie-et-qualite-de-vie-les-soins-de-maintenance-allongent-les-periodes-sans-aucune-douleur-chez-les-patients-lombalgiques","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.plubeau-chiropracteur.fr\/chiropraxie-et-qualite-de-vie-les-soins-de-maintenance-allongent-les-periodes-sans-aucune-douleur-chez-les-patients-lombalgiques-244.html","title":{"rendered":"Chiropraxie et qualit\u00e9 de vie : les soins de maintenance"},"content":{"rendered":"
Chiropraxie et qualit\u00e9 de vie : les soins de maintenance<\/strong><\/em><\/p>\n Aucune douleur pendant plus de 37 semaines dans l\u2019ann\u00e9e\u2026 c\u2019est ce qu\u2019apporte la chiropraxie aux\u00a0patients lombalgiques<\/a>\u00a0les plus douloureux. Ceux dont le mal impacte le plus significativement leur qualit\u00e9 de vie. Et c\u2019est la recherche qui le confirme, selon une \u00e9tude publi\u00e9e en avril 2020 sur les soins chiropratiques de maintenance.<\/p>\n Les soins de maintenance chiropratique correspondent \u00e0 la poursuite de soins de mani\u00e8re r\u00e9guli\u00e8re sans attendre l\u2019apparition d\u2019un nouvel \u00e9pisode douloureux et ce apr\u00e8s avoir \u00e9t\u00e9 soulag\u00e9 lors de la premi\u00e8re phase douloureuse. Les soins de maintenance se distinguent en-cela de l\u2019approche des traitements fond\u00e9e sur les sympt\u00f4mes. Dans ce dernier cas, le patient ne retourne voir son chiropracteur qu\u2019\u00e0 r\u00e9apparition de la douleur ou lors de la sensation de perte de mobilit\u00e9.<\/p>\n Les soins de maintenance sont tr\u00e8s d\u00e9velopp\u00e9s en Europe du Nord. On estime en effet que pr\u00e8s de\u00a030% des patients scandinaves suivis par un chiropracteur b\u00e9n\u00e9ficient de soins de maintenance<\/a>. Ils font l\u2019objet de recherche dans le cadre du\u00a0Nordic maintenance care program<\/i>, qui r\u00e9unit des chercheurs su\u00e9dois et danois, pour en mesurer l\u2019efficacit\u00e9. Leurs recherches portent sur un groupe de 328 patients lombalgiques de 18 \u00e0 65 ans, pour lesquels les soins chiropratiques ont d\u00e9j\u00e0 apport\u00e9 une r\u00e9ponse favorable. Les patients, r\u00e9partis al\u00e9atoirement dans deux groupes, ont re\u00e7u pour les uns des soins de maintenance, pour les autres un traitement fond\u00e9 sur les sympt\u00f4mes. Les patients ont \u00e9t\u00e9 suivis pendant une ann\u00e9e durant laquelle ils ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9guli\u00e8rement interrog\u00e9s sur leurs douleurs par SMS.<\/p>\n En 2018, une premi\u00e8re exploitation de ces donn\u00e9es \u00e9tait publi\u00e9e dans la r\u00e9put\u00e9e revue PlosOne. Cette\u00a0premi\u00e8re recherche<\/a>\u00a0concluait que les patients suivis en soins de maintenance avaient souffert pr\u00e8s de 13 jours de moins dans l\u2019ann\u00e9e que les patients recevant un traitement fond\u00e9 sur les sympt\u00f4mes, soit 85 jours douloureux versus 98. Parall\u00e8lement, les patients suivis en soins de maintenance avaient re\u00e7u deux consultations en plus que les patients de l\u2019autre groupe soit 6,7 consultations en moyenne dans l\u2019ann\u00e9e contre 4,9.<\/p>\n